Juste quelques roses du cottage, part 2, les roses (tons) les plus soutenus
Primrose Sistau, polyantha (Turbat 1925), c'est sa deuxième saison au jardin, mais sa première en pleine terre car l'an passé je l'avais planté en pot, où il s'était bien comporté. Il vient de chez Francia Thauvin, et ses nuances de tons depuis le bouton rose orangé, en passant par un rose plus soutenu devenant de plus en plus lilas, me comble ! Il est bien remontant parfumé et florifère, c'est un petit arbuste de 50 à 60 cm,
Elles étaient au jardin bien avant la jardinière, retaillées puis reboostées au fumier,
The Queen Elisabeth
Au massif Trévaré fleurissent trois anciens pieds
Ci-dessous, un petit rosier couvre-sol fuschia en provenance du lycée agricole du Nivot, très florifère surplombant le petit ruisseau d'iris, j'ai dû le soutenir par un support en fer forgé
Chabert-Delbart 1958
Grande fleurs en bouquets, floraison abondante de juin aux gelées, sain et résistant.On dit qu'il présente des fruits orangés à l'automne, mais je ne les ai pas encore vus, car j'avais coupé toutes les roses ! Quelle quiche ! Il prend ses aises au massif Karreg an Tan, aux côtés d'iris ensata violets
Gertrud Jekkyl, Austin 1986 (100 à 120 cm)
Sa première floraison, planté à l'automne, et mon premier anglais,son parfum
est très agréable bien que moins puissant que le rosier suivant :
"Rose de Meaux," un ancien, depuis une quinzaine d'années au jardin, comme Fantin Latour, son parfum est sublime. Mais le feuillage n'est pas épargné par la maladie, contrairement à ce que le pépiniériste avait dit à l'époque, par contre il ne ressemble pas du tout à un autre rosier du même nom, présenté sur d'autres blogs récemment, !
Lequel est donc le vrai ? !!!!
Regardez-moi ce bouton sur un ciel incroyablement bleu pour la Bretagne !